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Quoi de neuf au Qatar ?

Vendredi 23 novembre 2012 à 20:41

 Coucou tout le monde !

Bon, autant commencer tout de suite avec cela: la semaine prochaine, pas de weekly news puisque je pars passer le week-end à Dubaï. Enfin j'espère... La surprise du voyage étant que la date est tombée, par hasard, sur le championnat du monde de rugby à sept dans cette ville. Bref, peut-être des matches à voir en perspective.

À présent, que s'est-il passé cette semaine? Pas grand chose à vrai dire. Outre le stress (se retrouver à lutter seul contre six représentants du client dans une joute administrative qui ferait frémir un Lancelot du L.A.C. (Lire Attentivement les Contrats), croyez moi, ça stresse) et la fatigue (entre horaires de fous, allers-retours multiples sur le chantier et stress sus-mentionné, les occasions de se faire pomper de l'énergie foisonnent assez ironiquement dans le pays des pompes à énergie fossiles), deux compagnons fidèles au poste à peu près toutes les semaines, ma semaine ne regorge pas d'évènements marquants.

Enfin si. J'ai eu l'occasion, mercredi soir, de me rendre au Ritz-Carlton. Quand certains y vont en costume sur mesure, au volant de leur Aston Martin pour passer une nuit dans un endroit qui leur changera du Hilton, je m'y suis rendu en revenant du chantier, pilotant ma Kia Rio et en pur touriste. Il faut que je vous avoue qu'arrivé à l'entrée, je faillis faire demi-tour, certain d'être arrivé par une entrée menant à une conférence quelconque. De fait, les personnes costumées, les gardes à l'entrée, oreillette vissée au tuyau auditif et vêtement traditionnel arboré de manière surprenante vue la fonction des hommes et la fonctionnalité de l'habit ainsi que le détecteur de métaux étaient autant d'indice me montrant que l'entrée n'était pas faite pour le pékin moyen. Quoi qu'il en soit, prenant mon courage à deux mains (courage fortement aidé par une conversation téléphonique précédant mes actions), je passais cette sécurité et me retrouvais dans un monde qui est encore aujourd'hui à mille lieues du mien. À peine entré, une ribambelle de grooms est là pour me diriger. Pour être précis, six personnes sont alignées un peu en retrait de la porte d'accès et dès qu'elles captent le regard perdu d'un visiteur, c'est à grands renforts de sourires et de Sir qu'elles orientent l'errant jusqu'au lieu recherché. En l'occurrence, le bar de l'hôtel. Non sans m'arrêter au préalable aux toilettes, munis d'un banc près des lavabos afin d'attendre je ne sais trop quoi ainsi que de vraies serviettes éponges à usage unique pour s'essuyer les mains, je me rends donc au bar, rejoindre une fine équipe d'amis qui m'y attendait. Là encore, le luxe frappe. Non pas parmi mes collègues, mais autour plutôt. Mazette dirait  Zezette. Je m'installe donc et, croyez le ou non,... c'était l'happy hour !

Bref, à part cela, que dire si ce n'est que la température baisse et devient supportable, que manger épicé avant le chantier n'est pas une bonne idée, que le café ne fait plus son effet, qu'il est sans doute pour moi temps de me coucher. Tant de banalités, que je vous épargnerais.

Sur ce, bonne continuation dans tout ce que vous faites et à bientôt pour de nouvelles nouvelles !

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